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mardi 27 décembre 2022

Thomy Bourdelle dans LE REBELLE d'Adelqui Millar - 1931.

Le Rebelle (The Rebel) est un film français dramatique réalisé par Adelqui Migliar, sorti en 1931.  

Une jeune étudiante séduit un général russe pour qu'il épargne son mari déserteur. 

Distribution :
Thomy Bourdelle : Général Platoff 
Suzy Vernon : Maria Ivanovna 
Paule Andral : Alexandra 
Pierre Batcheff : Lt. Boris Sabline 
Henry Prestat : un jeune Général 
Frédéric Mariotti : l'ordonnance 
André Rehan : Spoliansky 
Jeanne Brazine : la Chanteuse 
Georges La Cressonnière : le lieutenant Glinka

 






















Fiche technique 

Titre : Le Rebelle 
Titre alternatif : Le Général 
Réalisation : Adelqui Migliar 
Scénario : Martin Brown, Louise Long, Benno Vigny d'après une pièce de Lajos Zilahy 
Photographie : Philipp Tanura 
Production : Les Studios Paramount 
Distributeur : Société Anonyme Française des Films Paramount 
Durée : 85 minutes 
Date de sortie : 3 juillet 1931 


lundi 9 mai 2022

PARAMOUNT : A mi-chemin du ciel - Le Figaro 14 juin 1931.

Ce film, comme Salto Mortale, tend nos nerfs à l'égal d'une corde de trapèze. 
Nul terrain n'est plus propice au drame que la piste d'un cirque : des psychologues y introduisirent les clowns, pour faire passer le public de l'émotion au rire. Dans A mi-chemin du ciel, ne se glisse nul intermède comique ; l'action passe du tragique au sentimental, puis revient au tragique. 


 Jim (Thomy Bourdelle) est la figure du destin, tenant en sa main la vie de ses compagnons, vie sentimentale de l'une, vie réelle de l'autre. Son amour contrarié lui fera oser le pire : il précipite dans la mort son partenaire jalousé qui, avant de s'écraser sur le sol, laisse aux poignets criminels la trace de ses ongles, stigmates sanglants dé cette passion. 


Greta Nelson (Janine Merrey) peut tout craindre pour celui qu'elle aime et que le sort pare du maillot étincelant de la victime de Jim ; les corps suspendus dans le vide rythment plus vite, plus vile encore, le battement de nos cœurs. Et la forêt où erre Greta, hantée par la mort de Tony, où s'accroche à chaque branche, trapèze fleuri, un acrobate scintillant, semble la forêt du Roi des Aulnes, peuplée de fantômes bondissants et légers. Il faut tout le talent de Moreno pour assumer une fois de plus un rôle ingrat, pour la sauver du ridicule où sombrerait immanquable ment une artiste médiocre. 


Eric Lintz (Jean Mercanton), est un enfant terrible que nous souhaiterions de fouetter s'il n'avait ce ravissant petit visage, si nous n'étions certains qu'il fallut beaucoup d'efforts pour placer dans celle bouche de petit garçon sage des mots aussi notoirement incompatibles avec son regard ingénu.





Le Figaro, 14 juin 1931

LA CARRIERE DE THOMY BOURDELLE : L'ancien officier est devenu général - Cinémonde 1931.

Une des traditions les plus fâcheuses que le cinéma ait cru devoir emprunter au théâtre, c'est la détermination des genres, qui enferme les artistes dans des rôles forcément conventionnels. 
 Ceci s'excusait et s'expliquait sur le chariot de Thespis, lorsque les comédiens longeaient les routes, avec leur répertoire, leur coquette, leur ingénue, leur traître et leur amoureux, comme au temps de Fracasse ; l'écran offre aux réalisateurs et à leurs interprètes d'autres possibilités. Pourtant, on a eu tendance — et ceci nous vint, je crois, d'Amérique — a conserver ces étiquettes désuètes.
C'est un jour qu'heureusement, on arrive à secouer. Buddy Rogers, écœuré de ses rôles de jeune premier, par trop puérils, a résolument changé de camp et assumé dans un nouveau film, le rôle du personnage antipathique, que Pierre Louys prétendait indispensable à toute histoire qui se respecte... 

 Général dans l'armée russe

L'inverse se produit également... Thomy Bourdelle, que nous avions vu si ignoble dans À mi-chemin du Ciel, s'est transformé dans Le Rebelle en un homme d'une haute valeur morale... Cette conversion de Bourdelle au bien fut des plus rapides. Fielleux, sournois, lâche, brutal, odieux... l'ancien Voltigeur de l'espace est devenu, sous la direction d'Adelqui Millar, plein de dignité, de noblesse et d'autorité. Notre collaborateur Jean Robin vous a déjà, il y a quelques semaines, exposé la trame du Rebelle, qui met en présence trois personnages : une femme, deux hommes... Comment les classer, ces trois êtres, qui, parce qu'ils sont humains, sont complexes, pleins de contradictions, de luttes, de faiblesse, un homme jeune, un peu frêle, mal préparé au rude jeu de la guerre, sent, à l'heure du danger, tout son être qui renâcle devant la menace de mort. Il recule, il s'affole... Il est la bête aux abois, que la crainte, la rage désespérée aveuglent... 
C'est Sablin, le rebelle, à qui Pierre Batcheff a prêté son visage maladif et douloureux, ses yeux de fièvre, son masque inquiet... Sa femme veut le sauver... Il n'y a dans son cœur que de la piété... et le sentiment de son devoir, d'épouse... 
Mais elle est jeune, belle, passionnée. Elle a souffert. Ses nerfs sont épuisés.. Sur sa route se trouve alors, seul maître de son destin, l'homme qu'elle a rencontré trop tard, celui qu'elle doit aimer... Voilà pour Suzy Vernon, si mal utilisée souvent, un vrai rôle de femme, et qu'elle a su remplir...

Thomy Bourdelle à la ville...


C'est à Thomy Bourdelle que revenait la tâche d'incarner le général, puissant et pesant, un peu brutal et d'abord rude. 
Il lui fallait ne pas se laisser écraser par le costume du rôle... C'est un détail qui a plus d'importance qu'on le croit. La longue redingote : le bonnet d'astrakan des généraux russes sont lourds à porter... Thomy Bourdelle, avec sa belle stature d'athlète, a su donner une impression de force, d'aisance trapue et virile... Ses yeux clairs, aux prunelles transparentes, son visage aux reliefs accentués donnaient au personnage à la fois l'âge et le caractère slave qui convenaient...
Et puis, Thomy Bourdelle sait être un bel officier. On l'a vu dans Verdun visions d'histoire... et ce n'est pas seulement dans le film de Poirier qu'il a acquis cette assurance, cette sûreté «le ton et d'attitude dans tous les détails du commandement : Thomy Bourdelle fut officier pendant la guerre.. 
À l'armistice, au lieu de poursuivre les études interrompues à l'Ecole centrale, il fut amené, par Poirier, au cinéma, pour lequel il s'était passionné depuis les premières expériences. Il ne faut pas oublier que c'est à Poirier que nous devons cet artiste qui fut toujours son interprète préféré... Les premiers films de Bourdelle sont anciens, mais pas encore oubliés : Jocelyn, Jocaste, Le Courrier de Lyon, La Brière... Tandis que son metteur en scène et ami tourne en Afrique La Croisière noire, Bourdelle tourne plusieurs films pour les Cinéromans, notamment La Divine Croisière... Puis Cavalcanti. alors à ses débuts, lui confie un des rôles de composition de En Rade... C'est Cavalcanti qui, après Caïn, l'enrôlera sous la bannière Paramount... Tous ceux qui ont utilisé Thomy Bourdelle aiment à faire appel à lui, dès qu'un rôle s'offre dans la gamme très vaste de ceux qu'il peut interpréter. Caïn ne pouvant guère être considéré comme un film parlant, c'est dans Les Vacances du Diable que cet artiste fait ses véritables débuts devant le micro... Depuis, il y a eu, du même Cavalcanti, À mi-chemin du Ciel... Puis Le Rebelle, et depuis trois semaines. Bourdelle tourne, avec Max Reichman : Camp Volant... Encore un film de cirque... 
Mais nous pouvons attendre beaucoup du réalisateur D'Attractions et d'un tel interprète. 

M. G. 

Cinémonde, n° 146, 6 août 1931







lundi 22 novembre 2021

Quelques Mots Sur Thomy Bourdelle - Mon Ciné n°493, 30 juillet 1931.

 En 1913, au concours de l'athlète complet, qui réunissait la fleur de la jeunesse française et qu'enleva Géo André, une des places était prise par Thomy Bourdelle.

Thomy Bourdelle, neveu du grand sculpteur trop tôt disparu, avait alors pour ambition de devenir artiste lui-même.


À l'école des Beaux-Arts, il peignait et taillait dans le marbre ; puis il partit pour Reims au collège d'athlètes fondé par Hébert et le marquis de Polignac dans le magnifique parc Pommery. La guerre devait l'y surprendre. 

Retour des armées, Thomy laissa tomber le ciseau et le maillet, chercha sa voie. C'est alors que le metteur en scène Roger Lion eut besoin, pour un film, d'un bourreau aux proportions inusités. On trouva - par hasard - notre homme. Il tourna vêtu de rouge, appuyé sur sa hache. Il fut très bien, continua.

Les créations de Thomy Bourdelle depuis furent nombreuses. Courageusement, il a gravi l'échelle ; il a rencontré de grandes, de vraies difficultés sur sa route et cependant persévéré. Triomphe ! 

Entre temps, il jouait au rugby, comme pilier, dans une équipe du Racing-club de France. Son aspect hirsute (la plupart du temps,  il remplissait des rôles barbus) effrayait quelque peu l'adversaire. Souvent, nous entendîmes : "Quel est cet homme des bois ?". Mais le métier d'artiste de cinéma ne peut se concilier avec les yeux au beurre noir, ou les arcades sourcilières fendues. Thomy Bourdelle, bien à regret, dut quitter l'arène de ses exploits sportifs ! 

Il trouva sa voie avec Caïn. Léon Poirier pour s'exiler dans l'îlot admirable de Nossi-Bé, y établir son "camp de caméra", s'était mis en quête de partenaires de grande allure. "L'homme révolté" ne se concevait que puissant, traits marqués par la fatalité, et en même temps assez façonné par les jeux du stade, pour ne pas craindre de se montrer à peu près nu.

Avec Thomy Bourdelle, avec Rama Tahé, Poirier disposait d'irremplaçables interprètes. La stature de l'un, la ligne de l'autre . . . pouvait-on trouver mieux en Europe ?

Le film fut dur à réaliser. Une chaleur étouffante ; de longues stations en plein soleil, tête nue ; un climat magnifique et déprimant, qui n'incitait guère à de violents efforts. Mais la petite troupe de Caïn avait résolu de produire une grande chose, de tirer le maximum des circonstances, de vaincre, en un mot, dans cette bataille. 

Thomy Bourdelle nous a confié que, dans le combat singulier qu'il livra avec un noir splendide, et qui est un des clous du film, les choses ne se passèrent pas tout à fait ainsi qu'on avait pu l'envisager. Aux répétitions, le lutteur malgache se laissait "tomber", comme l'exigeait le scénario, au bout de quelques minutes de corps-à-corps acharné (par 45° à l'ombre). Le jour de la prise de vues, ce protagoniste orgueilleux et naïf ne voulut plus se laisser faire ! Un véritable assaut, sous l'oeil de l'appareil, s'engagea alors, dont la sincérité cinématographique était indéniable, mais qui plaçait notre champion, déjà anémié par la température, en assez difficile situation ! La lutte se prolongea, épuisante et brutale.

Finalement, pour mettre à la raison un adversaire qui ne voulait plus rien savoir pour toucher des épaules, Thomy dut avoir recours à une prise de jiu-jitsu. L'indigène, bras tordu, se sauva alors en criant.

Au retour des îles lointaines, notre héros a tourné deux films, qui viennent d'être réalisés sous l'égide de la Paramount français. Ils ont été réalisés à Joinville, en studio. L'un a pour titre : À mi-chemin du Ciel ; l'autre : Le Rebelle.

À mi-chemin du Ciel est une histoire de cirque, d'origine américaine, dont la vedette est Enrique Rivero en France, Charles "Buddy" Rogers outre-Atlantique. Thomy y joue le rôle d'un "vilain", que la jalousie conduit au crime le plus affreux : il laisse s'écraser au sol, au cours d'un numéro de trapèze volant, certain rival !

Thomy Bourdelle dans À mi-chemin du Ciel

Jeannine Merrey est l'héroïne féminine de ce drame mouvementé, où encore Marguerite Moreno, Gaston Mauger, Raymond Leboursier, Ketty Loloff et Sergeol.

Ce film, mis en scène par Cavalcanti, nous montrera un exploit sportif pour le moins inattendu du brun Rivero : d'un coup de poing bien asséné, il envoie à terre, knock-out, Thomy Bourdelle ! Cela... du cinéma ! Car, dans la vie, quatre Rivero pourraient à peine inquiéter notre athlète !

Le Rebelle, sur un scénario de Benno Vigny, déroule ses péripéties sur le front russe, au cours d'une guerre assez vague.

Le titre de ce film était d'abord Le Général. Le général ? c'est notre Thomy, superbe en cosaque, et coiffé d'un bonnet d'astrakan qui lui va à ravir. Il a pour partenaire la délicieuse Suzy Vernon ; tandis que dans la version allemande, Conrad Veidt et Olga Tschekowa se partagent les honneurs de la distribution.

Pierre Batcheff, époux de la quelque peu volage et indécise Suzy, la verra, au cours de ce film, tomber dans les bras de Thomy Bourdelle, homme de guerre résolu, tandis que lui, Batcheff, n'est qu'un pauvre bougre de savant (cependant génial). C'est, somme toute, le triomphe des armes sur la science... parmi quelques orgies d'arrière-front auxquelles préside - encore de l'imprévu ! - la sculpturale Paule Andral.

Ce film est l'oeuvre d'Adelqui Millar, qui de l'interprétation est passé depuis peu à la mise en scène. Création dont Thomy Bourdelle peut, d'ores et déjà, dire : "Dans un autre ordre d'idées, je ne crois pas y avoir moins bien fait que dans Caïn ! "

Acceptons-en l'augure !


ANDRÉ CHARLES

MON CINÉ N°493, 30 JUILLET 1930




vendredi 5 novembre 2021

LES VACANCES DU DIABLE d'Alberto Cavalcanti - 1931.

Le Courrier des cinémas

Les Vacances du diable est un film français d'Alberto Cavalcanti sorti en 1931. 

Cinéma - la première revue de grand luxe du cinéma français, n°39, 02/1931

Synopsis 
Une jeune et jolie femme, exerçant le métier de mannequin fait la conquête d'un jeune homme de bonne famille bourgeoise habitant la campagne, instruit d’une façon austère et rigide. Après l'avoir épousé, ce joli mannequin arrive chez ses beaux-parents pour y passer quelques jours de vacances, mais rapidement elle devient indésirable. 

Comoedia 1931 01 07














Fiche Technique
Réalisation : Alberto Cavalcanti 
Scénario : Edmund Goulding, adaptation d'Alberto Cavalcanti, dialogues de Georges Neveux Photographie : Enzo Riccioni 
Société de production : Paramount Pictures 
Genre : comédie dramatique 
Durée : inconnue 
Date de sortie : France - 27 mars 1931 





Distribution 
Marcelle Chantal : Betty Williams 
Thomy Bourdelle : Mark Stone 
Jeanne Fusier-Gir : la standardiste 
Jacques Varennes : Charlie Thorne 
Rachel Launay : Mary 
Charlotte Martens : Anna Robert 
Hommet : Allan Stone 
Maurice Schutz : David Stone 
Pierre Richard-Willm : Dr Reynolds 
Raymond Leboursier : Monk McConnell 
Louis Kerly : Kent Carr 
Lucien Callamand : Hammon


Ciné Magazine / 11e année n°2 Février 1931




Egalement tourné en version américaine (The Devil's Holiday, d'Edmund Goulding), en version allemande (Sonntag des Lebens, de Leo Mittler), en version espagnole (La fiesta del diablo, d'Adelqui Millar), en version italienne (La vacanza del diabolo, de Jack Salvatori), et en version suédoise (En kvinnes morgondag, de Gustaf Bergman).




 Cinéma - la première revue de grand luxe du cinéma français, n°39, 02/1931



L'Écho de Paris 1930/12/26




Comoedia  / 1931 02 18





Le Midi Socialiste







Cinémonde, n° 127, 26 mars 1931
















samedi 27 juin 2020

À MI-CHEMIN DU CIEL d'Alberto Cavalcanti (1931).



Ciné-Miroir, n° 307, 20 février 1931


À mi-chemin du ciel est un long métrage franco-américain réalisé par Alberto Cavalcanti d'après l’œuvre de Henry Leyford Gates, sorti en 1931. C'est la version française du film américain Half Way to Heaven sorti en 1929, également adapté de la nouvelle Here Comes the Bandwagon de Henry Leyford Gates.

Fiche technique
Titre : À mi-chemin du ciel
Titre international : Halfway Up the Sky
Réalisation : Alberto Cavalcanti
Scénario : Georges Abbott, d'après l’œuvre de Henry Leyford Gates
Adaptation/Dialogues: Alberto Cavalcanti, Georges Neveux
Photographie : Jacques Monteran
Producteurs: Adolph Zukor, Robert T. Kane Société de production et de distribution : Paramount Pictures (France)
Genre : drame
Durée : 97 minutes
Pays : France et États-Unis
Année de sortie : 1931

Distribution
Janine Merrey : Greta Nelson 
Jeanne Marie-Laurent : Madame Lintz 
Thomy Bourdelle : Jim 
Ketty Loloff : Doris 
Enrique de Rivero : Fred Lintz 
Marguerite Moreno : Madame Elsie 
Katia Lova 
Jean Mercanton : Eric 
Gaston Mauger : le manager 
Pierre Sergeol : Slim 
Raymond Leboursier : Tony 
Pierre Piérade


Avec Jeannine Merrey
Cinémonde, n° 137, 4 juin 1931








Ciné-Miroir, n° 307, 20 février 1931






Cinémonde, n° 137, 4 juin 1931

mardi 12 novembre 2019

LE REBELLE d'Adelqui Millar - 1931.

LE REBELLE est un film français réalisé par Adelqui Millar avec Suzy Vernon, Thomy Bourdelle et Paule Andral. 
Il s'agit d'une adaptation de la pièce de théâtre Le Général (Hongrois : A tábornok) de Lajos Zilahy.



La Russie en 1914. Une jeune étudiante partagée entre son devoir d'épouse et sa passion de femme, séduit un général pour qu'il épargne son mari déserteur et le renvoie à son laboratoire. 

Genre : Mélodrame militaire
Produit par : Adolph Zukor Robert-T. Kane Paramount Pictures (France)
Langue de tournage : Français
Année de production : 1930 
Sortie en France : 31 juillet 1931
Durée : 1 h 25 min  
Adaptation : Martin Brown, Louise Long, Benno Vigny 
Directeur de la photo : Philipp Tanura 
Titre secondaire : le Général / Le Péché vertueux

Produit par : Adolph Zukor Robert-T. Kane Paramount Pictures Genre : Mélodrame militaire



Ciné-Miroir n°318 du 8 mai 1931



Ciné-Miroir, n° 327, 10 juillet 1931 





Le Cinéopse / organe mensuel de l'industrie cinématographique
n° 144, août 1931




Ciné-Miroir, n° 318, 8 mai 1931




Ciné-Miroir, n° 322, 5 juin 1931





Ciné-Miroir, n° 315, 17 avril 1931




Cinémonde, n° 131, 23 avril 1931




La Maison Dans La Dune de Pierre Billon (1934).

UN FILM DE QUALITE   La Maison dans la Dune  Un seul film nouveau cette semaine mais c'est un film français. Et de qualité. L'histoi...